Ce fond de teint qui m’a changé la vie !

On reprend tout doucement le fil, et cette semaine c’est avec un article sur mon fond de teint du moment. Il était à la base prévu samedi mais étant donné les évènements, je n’avais pas le cœur à poster ce genre d’article durant la période de deuil national. J’espère que tout va bien pour vous et que vous et vos proches êtes en sécurité. J’ai décidé de reprendre mes articles histoire de changer un peu les idées, parce que je pense que parfois ça fait quand même du bien de se changer les idées, surtout en cette période.

J’ai donc choisi de vous parler d’un produit que j’adore et que j’ai jugé bon de vous présenter puisque je pense qu’il pourra sans doute en aider quelques unes !

Ma peau, cette cyclothymique.

▲ Toi qui connais ce terme, tu comprends sans doute ma métaphore, toi qui pense que je me suis mise à parler Chinois depuis mon dernier article, sache qu’il est utilisé pour qualifier une personne qui passe du rire aux larmes, de la tendresse à la colère, en un claquement de doigts. N’étant pas psychologue, je ne vais pas ici te faire un cours sur comment s’en débarrasser ou t’expliquer le pourquoi du comment ça se produit, je vais juste te raconter l’histoire de ma peau et de ses tendances schizophrènes. Précisons-le, ici je vais seulement parler fond de teint, celui qui m’aide à lutter contre les délires chelou de ma peau.

Parce que oui madame, tantôt je te fais une peau de bombe sortie tout droit de photoshop IRL, tantôt une peau qui semblerait avoir plongé dans l’huile de la friteuse de grand-mère, et re-tantôt, je te fais une peau qui débloque complet en se transformant telle la tomate défraichie au fond du panier. La pollution, tout ça, ça joue beaucoup, mais c’est quand même du délire. ( Pour ce qui est des soins j’en fais, je dois changer ma routine alors je ne vous parlerais pas de ça ici puisque ma routine n’est pas totalement au point à l’heure actuelle.)

▲ A l’adolescence, j’ai quand même eu du bol, je n’ai pas eu d’acné ( ce qui ne signifie pas que je n’en aurais jamais), cependant, j’ai quand même eu la joie, l’horrnneur ! d’avoir une peau mixte. Cette peau grasse en zone T et sèche sur les joues, saches qu’à chaque instant, c’était une lutte infernale pour trouver le BON fond de teint qui puisse tenir le coup et s’en sortir pépère.
▲Vers l’âge de 17 ans je suis petit à petit revenu à une peau mixte mais cette fois-ci, une peau normale/ déshydratée pour en finir avec une peau totalement normale. Tranquillou en terme de soin, j’avais la routine au top, et en terme de fond de teint, le seul problème étant la couleur à trouver, sinon, en général la tenue était pas mal. Aucun problème de brillance, ma peau ne graissait plus, never !
Mais vient ici la peau, qui fait ce qu’elle veut selon sa saison, Madame a des préférences, on connait toutes ça, ou presque.

A chaque saison son produit.

L’été j’opte pour une crème teintée qui hydrate ma peau, protège légèrement des rayons UV mais avec une VRAIE protection dessous, et le tour est joué. Arrivé à l’automne, je choisi un fond de teint un peu plus couvrant, Mat et qui puisse tenir la route. On protège sa peau du froid, on évite de la martyriser avec n’importe quoi et on opte pour un fond de teint longue tenue. En tout cas pour ma part c’est le cas puisque mon teint a tendance à moins tenir la route l’hiver que l’été.

On entre dans la galère.

Avant – Sans flash.

▲ Arrive Septembre, on reprend tout doucement les cours. N’ayant plus de fond de teint/crème teintée de côté, je choisi d’acheter un fond de teint que j’appellerai « passerelle » parce que c’est la classe, parce que c’est ce qu’il est. En sachant que chaque hiver je met le prix en terme de fond de teint, parce que ma peau c’est ce qu’il y a de plus important et c’est là que je juge important de bien choisir ce que je prend. En conséquence, j’ai choisi un fond de teint pour dépanner en me disant que je n’allais pas dépenser un bras sachant que ma peau allait avoir besoin de plus d’ici un mois ou deux. C’était la solution d’urgence, pas le temps de réfléchir et il était sous mes yeux. J’ai choisi le nouvel Accord Parfait de L’oréal. On va passer les détails mais en gros, suite à cet achat, il m’aura fallu 3 semaines pour constater les dégâts.

 ▲ First ! Ce fond de teint, qui au départ tenait assez bien, a vite changé de bord. En quelques heures, la couleur s’oxydait. Expliquons la situation. T’es devant ton miroir, teint fini sans aucune démarcation. 1h après, tu arrives au boulot, tu te sens limite orange, les jours où tu n’est pas madame citrouille tu as le teint terne. Alors je ne vous raconte pas à quel point on se sent terriblement bonne dans ces moments là.

▲ Ensuite ! Parce que c’est pas fini ! Après cette période tantôt citrouille, tantôt fleur fanée, vient la période boule à facettes. Oh oui elle est connue. C’est ce moment où tu passes ton doigt sur ton front et que t’as l’impression d’avoir fourré celui-ci dans le beignet de ton neveu. Là aussi t’as la classe.

Goodbye le beignet, bonjour la matité.

Exit le titre très recherché, on passe au meilleur. J’ai, après toutes ces péripéties, décidé d’avancer le temps et d’acheter tout de suite mon sauveur. J’ai longuement hésité. Je savais quelle marque j’allais choisir, car en terme de matité, Mac ne m’a jamais déçue. Tout au moins avec son fond de teint Pro Longwear, j’étais sure de ne pas me gourer. Mais j’ai aussi découvert un nouveau fond de teint, le Pro longwear Nourishing Waterproof foundation, il avait l’air pas mal. Le hic ont été les 35€ pour 20ML ! Je veux bien mais faut pas pousser mémé dans les orties.
Donc je suis retourné vers mon bon vieux Pro longwear.

Avant / Avec flash.

Mac – Pro longwear.

▲ C’est une tuerie ! 3 ans de suite que je l’achète pour l’hiver et je ne m’en passe plus. Je pense que pour les Mac addict on ne vous le présente plus, il s’est déjà forgé une assez bonne réputation.
Tout d’abord, on va parler couvrance, rien de plus parlant qu’un avant/après. Il a une couvrance modulable. Son flacon pompe permet un juste dosage. Si vous recherchez une couvrance légère afin d’unifier votre teint, une pompe suffira. Si vous cherchez une couvrance moyenne, il vous faudra deux pompes. On ne poussera pas jusqu’à 3, 4 car le but n’étant pas de se tartiner le visage pour un effet plâtré, un effet naturel c’est quand même plus chouette !

Après / Sans flash.

▲ En terme de tenue, c’est là qu’il, selon moi, dégomme tous les fond de teint matifiants longue durée que j’ai pu tester. Je l’applique à 6h, je me démaquille vers 21h, mon teint n’a pas bougé ! On en verserait presque une larme en fin de journée alors qu’un fond de teint qui ne prend même pas la peine de rester sur vous la journée, c’est limite si on lui dit pas  » casses toi de là ! ».

▲ Son prix est de 33€ pour 30ml. Je pense que j’ai trouvé le juste milieu, je ne trouve pas que ce soit exorbitant par rapport à ses concurrents de parfumerie que l’on peut payer 45 balles sans réduction, je pense que 30€ ça peut faire mal, mais ça me va.
J’ai choisi la teinte NC15.

Après / Avec flash.

J’ai vaincu ma peau grasse.

Telle une combattante, j’ai vaincu. Eh ouais, c’est en mode Lara Croft que j’ai enterré ma boule à facettes à coup de pieds. Ma peau est matte et mon teint reste opé. N’ayant pas envie de me casser la tête à longueur de journée pour un make up, je peux vous dire que c’est l’extase !

Milles bisous !
Clélia.